Mes défis pour 2018

Et si après tout ça j'ai encore un peu de temps : Aider les associations à monter en compétence sur leur communication, leur système économique et leur organisation.

Et bien sûr un petit défi de lecture ! 53 livres.

2018 Reading Challenge

2018 Reading Challenge
Sébastien has read 11 books toward their goal of 53 books.
hide

Ma jeunesse

Bonjour à tous je me présente pour ceux qui ne me connaisse pas, je m’appelle Sébastien TORRES. J’ai 26 ans, et j’habite à Montpellier.

Depuis que je suis tout petit, je suis très introverti, trop réservé, à tel point que mes parents m’emmenaient voir des spécialistes à droite à gauche. Ma scolarité a été catastrophique, j’ai redoublé, j’ai galéré, et je me suis demandé pendant des années ce que j’allai faire de ma vie !

Je vais même vous faire une confidence, un des pires moments ça a été quand mon prof principal en troisième, prédit devant ma mère que, je cite : “votre fils n’a même pas le niveau pour faire un BEP” ; ça m’a mis une grande claque. M Pont si tu passes par là, merci pour vos dons de voyance extraordinaire !

« Votre fils n’a même pas le niveau pour faire un BEP »

M.PONT, Professeur principal et voyant.  

Les années passent, je suis toujours perdu et à mes 18 ans, le déclic, je fais une expérience qui va changer ma vie, du marketing de réseau. Le principe je ne vais pas vous le détailler, car d’un point de vue éthique avec du recul, je ne le referais pas. Mais cette opportunité m’a permis de rencontrer pour la première fois de ma vie, des gens qui partageait la même mentalité que moi, et tout simplement de comprendre que j’étais fait pour créer, innover, être indépendant, prendre des risques, en résumé… un entrepreneur !

Je me suis du jour au lendemain, complètement ouvert sur le monde, véridique, ma mamounette ne m’a pas reconnu !

« Et ça a rapporté ton marketuc de réseau » ? et bien pour être honnête.. Vous savez cette pub internet que vous avez forcément déjà vu une fois, avec un gars qui nous explique qu’il à fait fortune, en utilisant une technique R E V O L U T I O N N A I R E à la roulette, misant tantôt sur le rouge, tantôt sur le noir, et bien je pense qu’en terme de résultat financier on peut comparer ces deux expériences ! Du coup transformé, mais sans un rond en poche, je décide de reprendre les études (BEP et bac pro), mais avec l’idée en tête, qu’un jour, je pourrais créer une activité en indépendant.

Je commence donc un long travail de transformation pour préparer l’avènement de ce jour prophétique. J’étudie donc, la philosophie et le développement personnel en autodidacte, en lisant des livres et en regardant des cours en ligne et de préparation, tout en mettant de l’argent de côté chaque mois.

Imaginez le pire cauchemar !

J’ai noté le pire scénario qui pourrait m’arriver sur une feuille si je lançais mon projet d’indépendant, en en lui attribuant une note d’ « irréversibilité » (ne pas pouvoir retourner en arrière). En l’écrivant tout était plus clair pour moi, mes seuls risques, c’était de perdre un peu d’argent et 1 an de ma vie, et qu’est-ce que je pouvais gagner si cette expérience était un succès ? Vivre la vie de mes rêves tout simplement. Mais je suis même allé plus loin, en écrivant ce que je risquai à ne pas tenter cette expérience !

Et là, c’est apparu comme une évidence, ne pas me lancer, c’était ne pas croire en mes rêves, y renoncer et le regretter toute ma vie.

C’est donc ainsi que jaillie des flammes le site “Les Autodidactes” : donc en gros tous les moyens d’apprendre des choses en dehors des dispositifs éducatifs officiels, en jouant sur le fait que l’éducation nationale est lente mais que la mondialisation elle est rapide. Et qu’une formation spécialisée, individuelle et actuelle sera presque toujours plus efficace qu’une formation collective, dépassée, inadapté (par exemple combien de professeurs donnent des cours sur la création d’entreprise alors qu’ils n’ont jamais rien entrepris?) et trop long. 

Pour conclure mon « why » profond, pourquoi je fais tout ça c’est la France, ce qui veut dire que contrairement à 95% des infopreneurs je ne vais pas partir m’exiler dans des paradis fiscaux. Je compte rester en France excepté 1 à 2 années pour apprendre l’anglais qui est nécessaire pour accéder à une quantités énormes d’informations non traduites dans la langue de notre chère Molière. Ce qui implique également, que ma priorité c’est votre réussite, si vous souhaitez juste dépenser votre argent sans travailler derrière je n’en veux tout simplement pas, je ne vends pas des formations ou des accompagnements pour m’en mettre plein les fouilles mais pour aider un maximum de personnes à mieux vivre en fonction de leurs valeurs et de ce qui pense pouvoir apporter au monde ! 

Alors on y va ?